Argentique, numérique, peu importe, a chacun son propos, sa proposition...
Je vis la pellicule comme une chair que l'on travaille, caresse et remodèle, privilégiant toujours la "main de l'homme", porteuse des histoires du Monde, celle qui façonne et parfois aussi détruit.
Le numérique défie la vitesse, l'argentique enlace le temps pour l'étreindre.
Quand on dégaine un téléphone portable pour faire un selfie ou prendre une photo rapide ou en catimini, je tends une main et salue. C'est le principe de base à toute rencontre humaine.
La technologie ne peut rien pour nous si on oublie ce simple geste...
> Diaporama "Errances birmanes"